DÉCLARATION CONTRE LA PANIQUE ET LA LIMITATION MASSIVE DES DROITS

L'humanité est confrontée à un nouveau défi en 2020. Malgré les contradictions de l'information, la désinformation et la peur, nous en savons aujourd'hui suffisamment sur l'épidémie de COVID-19 pour prendre position - sur le plan scientifique, éthique, juridique, civil, économique.  Sur la base des observations et des faits,  en tenant compte de l'avis de centaines de scientifiques - épidémiologistes, virologues, pneumologues, pathologistes, médecins d'autres spécialités, juristes, économistes, sociologues, psychologues, experts en matière de terrorisme médiatique -   déclarons notre volonté de ne pas permettre, sous la peur de l'ODS, de nous retirer nos droits, de ne de ne pas laisser détruire le monde que nous avons construit pour nos enfants!  Et nous allons nous battre pour eux! 

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C'est pourquoi, nous proclamons notre compréhension de la situation, qui diffère considérablement de la position des autorités de nombreux pays:

  1. COVID-19 n'est pas le typhus, pas la peste, pas la tularémie, pas le SIDA, pas l'anthrax, pas la variole noire, pas la fièvre jaune et aucune autre maladie particulièrement dangereuse. Il n'y a pas d'autres IRVA dans les listes de maladies particulièrement dangereuses. Selon l'OMS, un milliard de personnes dans le monde souffrent chaque année de la grippe saisonnière. Tandis que COVID-19 a officiellement touché moins de 40 millions de personnes en 10 mois de «pandémie».  
    La perte de COVID-19 d'un million de personnes (l'exactitude de ces causes de décès est discutable chez de nombreux scientifiques) pour l'humanité au cours de la même période est comparable aux pertes dues à la même grippe (650 mille par an) et aux pneumonies (environ 3 millions par an). Par conséquent, COVID-19 ne peut pas être considéré comme une menace réelle pour l'humanité. Il ne peut pas être comparé à la peste, etc. 
  2. COVID-19 est un IRVA avec certaines caractéristiques que chaque IRVA possède.   Les problèmes qu'elle pose sont résolus par les activités locales normales de quarantaine   lorsque les seuils épidémiques sont dépassés. COVID-19 n'a presque jamais dépassé les seuils épidémiques dans le monde. La définition actuelle de «pandémie» (délibérément simplifiée par l'OMS en 2009) permet de l'appliquer à tout IRVA, ce qui ressemble plus à une fraude de l'OMS. Aucune décision collective de l'OMS d'introduire la pandémie COVID-19 n'est connue, ce qui nécessite un réexamen du travail de l'OMS et un procès des fonctionnaires  qui ont créé la panique dans le monde entier.
  3. Ce n'est pas une pandémie de virus – c'est une pandémie de panique – infodémie (terme de l'OMS) sur les tests PCR et les  IRVI saisonnières. L'OMS, obligeant à coder COVID-19 dans la Classification internationale des  maladies de la X-ème révision (CIM-X) uniquement sur la base de tests, a exclu l'avis des médecins du processus de diagnostic.  Et maintenant, sur les résultats des tests faussement positifs en combinaison avec des   IRVA  saisonnières, une fausse pandémie a été déclarée et maintenue. Peu importe quel virus - une telle pandémie peut durer éternellement!    Infectés par des tests sont délibérément mélangé avec les malades, mais ceux dont le test est positif pour le virus ne sont pas nécessairement malades (un terme de panique délibérément introduit «porteurs asymptomatiques»   indique simplement l’absence  de la maladie chez 80% des personnes même confrontées au virus  - ils n'ont pas de manifestations cliniques et ne sont pas contagieux).  On effraie la population et  même le pouvoir avec  les chiffres généraux des «malades»  sans indiquer  l'incidence saisonnière habituelle des infections respiratoires virales aiguës et de la grippe. Si, avec toute autre IRVA, on va paniquer et prendre les mêmes  mesures que maintenant, les résultats seront les memes.Mais auparavant de telles mesures n'étaient pas prises, ils étaient considérés comme inutiles, et la vie continuait!
  4. Autrfois les personnes soupçonnées d'IRVA  n'ont pas été emmenées en masse dans les hôpitaux, où, à la suite de l'afflux de personnes paniquées atteintes d'IRVA (rappelons encore une fois qu'un milliard de personnes sont malades de la grippe par an), du manque de tri et d'isolement, de véritables foyers d'infection ont été créés cette fois-ci. De plus, pendant des  années de nombreuses pneumonies ont été traitées à la maison, ce qui est beaucoup plus sûr que dans les hôpitaux, car à la maison, il n'y a pas d'augmentation de la charge virale, de l'infection nosocomiale et des effets hypostatiques qui augmentent la pneumonie.
  5. L'isolement des personnes dans de nombreux pays, au lieu des mesures de quarantaine locales habituelles, a non seulement entraîné l'arrêt de l'économie, la ruine des entreprises et la perte d'emploi, mais a augmenté   la  mortalité due à d'autres causes, parfois plusieurs fois supérieure à la mortalité COVID-19. L'incidence de l'alcoolisme, de l'obésité, du diabète sucré, des maladies cardiovasculaires a augmenté,   ainsi que le nombre des conflits et de la violence domestiques.   Le transfert des écoliers vers des formes d'enseignement à distance a déjà entraîné des troubles visuels massifs, une mauvaise posture, l'obésité, l'hypodynamie, le diabète sucré, des troubles mentaux, y compris la dépression et le suicide. Nous exigeons que les enfants soient protégés des facteurs qui nuisent à leur santé.   Si une quarantaine est nécessaire, alors, comme auparavant, vous n'avez pas à étudier pour le moment.
  6. Le commerce de la maladie (et non de la santé), qui est devenu déjà auparavant le pilier de l'action de l'OMS et des pouvoirs publics, a transformé la pandémie en une  «mine d'or», la rendant économiquement rentable. La Banque mondiale a émis des «obligations pandémiques» il y a quelques années, ce qui indique clairement la gérabilité des événements en cours, et a ainsi créé  un cercle de personnes intéressées à produire et à attiser la panique! Des milliards de personnes dans cette situation sont devenues une source de revenus pour les grandes   corporations (production et élimination d'équipements de protection individuelle, de médicaments, de vaccins; création et mise en place de  plates-formes pour les méthodes de travail et d'apprentissage à distance; etc.). Les États ont commencé à gagner  de l'argent grâce aux amendes et aux réductions des services sociaux. C'est-à-dire les maladies, la pandémie  sont le «nouveau petrolе» du monde! Mais de telles approches sont des crimes contre l'humanité et doivent être punies sans pitié! Après tout, il s'agit de l'existence des alarmistes qui créent consciemment la panique dans leur propre intérêt! À l'égard de ces personnes – cela a toujours été une condamnation pénale avec confiscation des biens! Et nous devons obtenir ces décisions des tribunaux!

    IL Y A DÉJÀ

  7. C’est la panique et non pas  l’IVAR qui a conduit à la surcharge des systèmes de santé dans la plupart des pays et au refus d'aider les personnes atteintes de centaines d'autres maladies – même les blessures, les accidents vasculaires cérébraux, les crises cardiaques, l'oncologie, la grossesse, etc.
  8. Les masques peuvent provoquer et aggraver la pneumonie, qui est ensuite mise comme cause de décès par COVID-19 -  c’est ainsi que sont déclenchées  la panique et la pandémie! Les masques protègent un peu de l’IVRA, mais ils tuent aussi!  Cela découle non seulement du nombre croissant de décès masqués couverts par les médias et de nombreuses   plaintes de citoyens concernant des évanouissements dus aux masques, mais également des recommandations de l'OMS. En fait, l'OMS a recommandé des masques uniquement aux patients présentant des manifestations cliniques du l’IVRA (qui sont correctement assis à la maison ou à l'hôpital) et à leurs contacts (médecins et proches).  Pour les personnes en bonne santé, y compris les asymptomatiques,  -  le masque n'est pas nécessaire; pour les patients atteints de maladies broncho-pulmonaires, cardiovasculaires, allergiques, mentales, les enfants - le masque peut être dangereux  et devrait avoir des contre-indications dans les instructions. La présence de contre-indications exclut l'obligation de porter des masques par tous les citoyens. Les masques ne peuvent être recommandés qu'avec une explication des avantages et des risques. Vous ne pouvez pas demander aux autres de mourir dans un masque pour que quelqu'un ne tombe pas malade du l’IVRA!
  9. Le traitement pratiqué  pendant la panique aurait pu tuer plus de gens que guérir.   Un médicaments tel que le massivement appliqué sur les recommandations de l'OMS, l'hydroxychloroquine, qui provoque une arythmie à la dose habituelle, a été appliqué à une dose deux fois supérieure à la norme, et bien que  l'OMS, apparemment effrayée par les conséquences, a cessé cette étude, le médicament continue d'être utilisé   dans certains pays. Cela pourrait être l'une des causes des décès supplémentaires. On crée des médicaments  contre COVID-19  par le biais de  procédures accélérées  qui violent toutes les règles d'obtention d'informations sur l'efficacité et la sécurité des médicaments, mais il n'y a aucune raison pour  çela. 
  10. Il n'existe pas de vaccins de masse contre l’IVRA.  C'est parce qu'elles n'ont aucun sens. Le virus de l’IVRA mute si rapidement que le vaccin ne protège pas, mais peut nuire, surtout s'il est rapidement  fabriqué et n'est pas testé non pas sur des personnes en bonne santé pendant le temps nécessaire, mais aussi sur des personnes affaiblies et âgées, qu'il est conçu pour protéger (en bonne santé, il n'est pas nécessaire du tout), et pour lesquelles il représente un danger. C'est pourquoi n'est pas clair l'espoir des autorités en matière de vaccination.  Dans une situation où il est évident que COVID-19 n'a pas de danger particulier, personne n'a le droit de forcer les gens à se faire vacciner obligatoirement, encore moins sous la menace d'amendes ou d'autres restrictions de droits, y compris les déplacements entre pays. Sinon, une politique similaire devrait être mise en place pour chaque IVRA et chaque grippe, mais cela est impossible.  
  11. Dans presque tous les pays, les médecins, même avec des noms très significatifs, sont exclus de la prise de décision sur l'épidémie de COVID-19. Il n'y a pas de débat – il n'y a que la surprise et l'indignation des scientifiques et d'un certain nombre de médecins par les mesures prises. Cela suggère que les autorités ne luttent pas contre le virus, mais contre quelque chose ou quelqu'un d'autre - par exemple, contre les droits de leurs citoyens,  parce que c'est précisément sur les droits qu’est porté un coup colossal, pas sur un virus.
  12. Les médias ont violé les canons de leur travail en ne montrant pas d'opinions alternatives. En fait, ils sont devenus des moyens de désinformation et de propagande de panique! Les réseaux sociaux bloquent l'information et ne permettent pas de reproduire des arguments différents de ceux des autorités. Tout cela crée un sentiment de désespoir chez les gens. Les médias doivent être responsables de leur participation à la panique et présenter des excuses à la société pour la désinformation!
  13. Nos droits au déplacement, à la communication, au travail, à l'éducation, à la protection de la santé pour des raisons non liées à COVID-19 et parfois le droit à la vie ont été violés en masse. La société a été divisée en ceux qui soutiennent les actions des autorités, et ceux qui sont contre – qui pour les masques, et qui sont contre, qui pour la vaccination, et qui sont contre. Il y a de plus en plus de conflits à ce sujet. En fait, en utilisant les règles de la loi sur l'épidémie, les autorités de nombreux pays ont gelé et violé tous les droits civils. Les relations dans la société sont de plus en plus totalitaires avec l'utilisation de méthodes fascistes de gestion. 

Les mesures de la désintégration sociale ne nous permettent pas de voir le sourire des gens aimés, des enfants, la beauté et les expressions faciales des autres, nous ne permettent pas de sentir des odeurs et de respirer normalement, nous sommes privés de la possibilité de tomber amoureux et   de continuer notre famille,  la grande majorité des gens se sont retrouvés dans la dépression, effrayés,  démotivés,  l'avenir du monde a soudainement cessé d'avoir un sens pour presque tous les gens, nous étions privés de l'avenir.

Cependant, nous n'avons pas l'intention de vivre dans la peur des personnes qui nous font peur de l’IVRA, ni de donner nos droits et notre avenir aux fantasmes et aux peurs de quelqu'un.

NOUS APPELONS LES CITOYENS DE TOUS LES PAYS:

  • organiser massivement des procès devant les tribunaux internationaux et étatiques contre les organisateurs de la pandémie COVID-19, avec la participation de scientifiques et du public, avec une couverture objective de tous les procès judiciaires et autres procès liés à COVID-19 dans les médias;
  • créer leurs propres médias, leurs propres façons d'informer les autres sur leur position et leur activité. Vérifier l’indépendance des mass médias s vis-à-vis des pouvoirs publics et régler la question de la séparation des médias de l'État, notamment en fixant une limite à la part du financement de l'État pour les médias indépendants.
  • signer cette Déclaration sur le site, l’envoyez  au moins à 4 amis, la transmettre aux représentants des différentes branches du gouvernement de leurs États et régions et aux représentants des medias.

NOUS EXIGEONS
des autorités, y compris les organisations internationales:

  1. Annonce de la fin de la pandémie;
  2. Suppression de toutes les restrictions de droits imposées par l'épidémie de COVID-19, à l'exclusion des mesures de quarantaine locales habituelles en cas de dépassement des seuils épidémiques;
  3. Abolition du port obligatoire de masques, inclusion de contre-indications dans les instructions;
  4. Vérification complète de tous les médicaments pour le traitement de COVID-19 enregistrés dans le régime accéléré, suspension pour cette période de validité des permis;
  5. Prévention de la vaccination obligatoire et de la vaccination avec des vaccins non testés (ils ne peuvent pas être appelés «vaccins»  avant d'obtenir des preuves d'efficacité et d'innocuité-autrement cela fait partie de la désinformation);
  6. Invitation aux pouvoirs publics de spécialistes en épidémiologie, virologie, etc.,  dont l’avis motivé doit être pris en compte  pour prendre les décisions visant à restreindre les droits des citoyens

Moscou, 18.10.2020

La déclaration a été signée par:

Gundarov
Igor

académicien de l'Académie russe des sciences naturelles, docteur en sciences médicales, médecin-épidémiologiste

Miloslavskaya
Zoya

docteur en philologie de l'Université d'État de Moscou, experte en matière de terreur médiatique (panique, info-démie, fées)

Lushavina
Alina

présidente de l'organisation publique internationale «Association indépendente des docteurs», neurologue

Redko
Alexandre

académicien de l'Académie russe des sciences naturelles, docteur en sciences médicales, professeur du département «Gestion dans la sphère social»  à l'Université d'ingénierie et d'économie, chef du département de la qualité de vie et de la santé publique à l'Institut national de la santé de la Fédération de Russie. En 1996-97 -   président du Comité de la santé de l'Administration de Saint-Pétersbourg. En 1998 - député de l'Assemblée législative de Saint-Pétersbourg de la deuxième convocation, et en 2002  -  député de la troisième convocation

Saversky
Alexandre

président de l'organisation publique russe «Ligue des   défenseurs des patients», expert de l'Académie des sciences de Russie, membre du Conseil d'experts auprès du gouvernement de la Fédération de Russie

Chetverikova
Olga

docteur en histoire, professeur associé, membre de l'Union des écrivains russes, directrice du Centre de géopolitique de l'Institut de recherches fondamentales et appliquées de l'Université  humanitaire de Moscou

Mashkova-Blagikh
Alexandra Vladimirovna

Présentateur TV Tsargrad, personnalité publique

Shafalinov
Vladislav Anatolievich

Professeur, docteur en sciences médicales, président du groupe de sociétés "VASH Doctor"

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